mardi 28 juin 2011

L'économie sociale, un troisième outil dans le coffre du développeur.

Aujourd’hui plus que jamais, l’économie sociale est partie intégrante du modèle québécois, soit une économie plurielle qui accorde une place à l’État, mais qui s’appui aussi sur un imposant réseau d’entreprises privées et collectives.

Dans cet esprit, elle constitue un outil privilégié de développement socio-économique pour l’ensemble du Québec. Mais peut-être encore davantage pour les communautés rurales du Québec. À cet égard, l’économie sociale représente une voie non négligeable pour les organismes de développement tel que les CLD et les SADC, afin de stabiliser et de solidifier le tissu socio-économique de leur région.

Toutefois, et c’est le principal propos de cet article, encore faut-il comprendre la nature, la place et l’importance stratégique de l’économie sociale dans une stratégie de développement total et, plus important encore, de gérer cet outil comme il se doit c’est-à-dire en évitant de confondre projet communautaire de même que cadeau politique et la véritable économie sociale.



Pour consulter le texte complet:
http://dl.dropbox.com/u/33380924/L%27%C3%A9conomie%20sociale%20un%20troisi%C3%A8me%20outil.pdf

Le partage du risque d'affaires: le contexte derrière LaCERE

Depuis plusieurs décennies, le développement économique s’effectue selon les règles du libéralisme économique. Ainsi, notre modèle de développement tient majoritairement à l’émergence spontanée d’entrepreneurs et sur le développement de leurs entreprises pour induire un accroissement de la richesse des communautés. 

Cependant, à voir évoluer un certain nombre de variables, il y a lieu de se questionner quant à l’efficacité future de notre modèle de développement économique. Si l’entrepreneur demeure, sans nuance, la pierre angulaire du modèle de développement, la question qui se pose maintenant est: devons-nous encore compter sur l'émergence spontanée comme seule bougie d’allumage du développement des communautés?

C’est, entre autres, cette question que nous nous sommes posé dans la région d'Acton en 2007 lors d’un exercice d’auto-diagnostic et de planification stratégique survenu à la suite d’événements économiques marquants. C’est donc à partir d’un encrage territorial spécifique que cet article questionne l’ingénierie du développement économique et propose l’expérimentation, en amont du model classique, d’un outil nouveau, complémentaire.


Pour le texte complet:

http://dl.dropbox.com/u/33380924/Le%20partage%20du%20risque%20d%27affaires%20OT.pdf